Bien plus qu’une simple critique réflexive de l’approche menée par l’organe de gestion du CHRV, cette carte blanche est in fine une invitation plus globale à questionner nos approches, le temps long et la gouvernance des décisions dans une société complexe, en mutation et sous tension.
Nous sommes toujours tentés de croire que demain prolonge le présent. Il nous semble pourtant plus que jamais nécessaire de prendre le temps de se poser autrement les questions pour limiter le désordre que nous semblons répéter aveuglement, et d’apprendre à ménager nos territoires plutôt que de seulement les aménager dans le seul intérêt des humains, ou de critères de performance technique et financière.